15
Oct

Marche mondiale des femmes 2020...25 ans plus tard, trop de femmes travaillent encore pour des pinottes!

Montérégie, le 16 octobre 2020 – La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) lance aujourd’hui son « Opération pinottes », cherchant à sensibiliser la population quant à la pauvreté encore vécue majoritairement par les femmes. À travers la région, les élues et élus, tant provinciaux que fédéraux, recevront pour leur part une livraison de pinottes leur étant spécialement dédiée, afin que les revendications visant à permettre aux femmes d’enfin s’en sortir ne passent pas inaperçues!

Une grande marche nationale devait se tenir en date du 17 octobre 2020, soit 25 ans suivant la première Marche des femmes, mais la pandémie en cours nécessite une adaptation face aux actions envisagées. Soulignons que le contexte actuel ne fait qu’accentuer les inégalités encore présentes et dont trop de femmes portent le poids, tel que reflété par le G13, Concertation nationale féministe :

« Intervenantes, professeures, infirmières, préposées, caissières, coiffeuses, mamans, proches aidantes, etc. – mais aussi principales victimes de la pandémie, surreprésentées à l’aide sociale, dans les emplois à temps partiel, en termes de statuts d’immigration précaires, etc. : le travail réalisé par les « anges gardiennes » est incommensurable. Et souvent invisible, autant que dévalorisé. » (https://rcentres.qc.ca)

 

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11
Mar

La violence conjugale : Une remise en question de la définition qui fait mal !

Longueuil, 5 mars 2020

La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) et ses groupes membres dénoncent la propension de plusieurs groupes pour hommes à remettre en question la définition de la violence conjugale, telle qu’elle a été réitérée, dans le Plan d’action gouvernementale en matière de violence conjugale 2018-2023. Dans la définition, la violence conjugale est issue d’une dynamique de rapports de pouvoir inégaux entre les femmes et les hommes. Elle mise sur l’aspect coercitif, c’est-à-dire la prise de contrôle sur l’autre plutôt que la perte de maîtrise de soi.

Sur le terrain, des groupes pour hommes ont conçu leurs propres définitions de la violence conjugale y incluant plusieurs situations : des ripostes de femmes victimes qui se défendent, des situations de tensions ponctuelles au sein d’un couple ou encore des disputes qui n’ont rien à voir avec les rapports de domination.

La TCGFM souhaite rappeler qu’il y a des impacts désastreux à vouloir regrouper toutes les manifestations de violence entre partenaires intimes sous l’appellation violence conjugale.

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20
Jul

La campagne des 12 jours d’action pour l’élimination des violences envers les femmes

Depuis 1991, le Centre pour le leadership mondial des femmes coordonne la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence de genre qui se déroule chaque année du 25 novembre au 10 décembre. Cette année, « 5478 organisations, les décideurs, les gouvernements, les agences des Nations Unies et d’innombrables personnes de plus de 180 pays à travers le monde » prendront part à cette 24e édition dont la thématique s’articule autour de la prévention des conséquences des conflits armés et de l’accès à l’éducation.

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© Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) 2016. Tous droits réservés.

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