01
Oct

Je suis féministe car être une femme limite encore les opportunités

L’égalité entre les femmes et les hommes, ça passe aussi par l’égalité des opportunités et l’élimination des barrières sociales basées sur le genre!

Nombreuses sont les contraintes qui contribuent à complexifier, voir empêcher, l’accès des femmes aux rôles décisionnels dans notre société ; c’est ce qu’on appelle le plafond de verre. Même si la parité est un objectif souvent ciblé dans les secteurs professionnels et politiques, les femmes demeurent sous-représentées au sein des sphères de pouvoir et ce, en raison de multiples discriminations systémiques.

 En contexte de campagne électorale fédérale, la TCGFM vous invite à réfléchir tant à la présence des femmes au sein des partis politiques qu’à la place qu’elles occupent au sein des décisions et des actions prioritaires.

 

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18
Sep

Je suis féministe car trop de femmes vivent des violences parce qu’elles sont des femmes!

Non, la violence ce n’est pas juste des coups.

Oui, le contrôle, la manipulation et les “taquineries sexuelles déplacées”, c’est de la violence.

Non, une femme n’est pas responsable des violences qu’elle subit. JAMAIS.

Oui, dire à une femme qu'elle a provoqué les violences subies, c’est aussi de la violence.

Non, être une femme ne devrait pas représenter un risque de violence.

Oui, les violences faites aux femmes, parce qu’elles sont des femmes, ont un impact sur TOUTES les femmes.

Partagez dans vos réseaux et aidez-nous à passer le mot : ❌ ÇA DOIT CESSER. ❌

 

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16
Jul

Je suis féministe et je dénonce les pubs sexistes

Utiliser le corps de la femme comme valeur marchande, ça suffit ! L’égalité, ça passe aussi par notre façon de montrer les femmes et les hommes dans les pubs.

La TCGFM défend les droits des femmes depuis 30 ans. L’égalité des genres n’est pas atteinte, mais la dénonciation du sexisme et de l’objectivation des femmes est essentielle pour y arriver. 30 ans de féminismes et ça continu!

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16
Jul

Je suis féministe parce que l’organisation devrait être l’affaire de tous et que oui, la charge mentale existe vraiment!

La charge mentale EXISTE vraiment et elle DOIT être partagée! "Penser à faire, à dire, à demander, à coordonner, à rappeler, à aller, à vérifier, à organiser, à ne pas oublier … penser à tout, finalement!”. Si vous aussi, vous jugez que l’organisation devrait être l’affaire de tous, PEU IMPORTE LE GENRE, vous êtes peut-être plus féministe que vous pensiez (et c’est une excellente chose!) 

Quand on soulève les inégalités persistantes entre les femmes et les hommes, la charge mentale est un concept important, bien que souvent mal compris. Traditionnellement, les hommes travaillaient et les femmes assuraient les responsabilités domestiques et familiales. Aujourd’hui, bien que les femmes aient intégré elles aussi le marché de l’emploi, elles demeurent les principales responsables de la sphère privée. Le problème de cette responsabilité de tout orchestrer, outre le fait qu’elle a un poids, qu’elle prend du temps et qu’elle demande de l’énergie c’est qu’elle est INVISIBLE! Tellement invisible que bien des gens croient encore qu’elle n’existe pas …

La charge mentale, ce n’est pas juste les tâches ménagères et la gestion des enfants. La charge mentale, c’est le poids généré par le devoir d’assurer À LA FOIS les responsabilités du travail, du couple, de la famille, des études, de la proche aidance et de la vie sociale et collective. L’égalité entre les femmes et les hommes, c’est aussi de partager la charge mentale!

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16
Jul

Je suis féministe car la pauvreté touche encore trop de femmes

La pauvreté vécue par les femmes a la particularité d’être souvent invisible. Être une femme pauvre, ça ne se limite pas à être sans emploi ou sans domicile fixe et ça ne se voit pas toujours. Pour certaines, la pauvreté c’est de travailler à temps partiel pour s’occuper des enfants ou des proches dans le besoin. Pour d’autres, c’est d’allouer une trop grosse part de son revenu pour se loger. Pour d’autres encore, c’est d’œuvrer dans des secteurs d’emploi traditionnellement féminins qui sont souvent moins bien rémunérés, de devoir fréquenter les banques alimentaires pour assurer leurs besoins de base ou de demeurer dans une relation violente parce qu’elles dépendent financièrement de leur conjoint.

La pauvreté ce n’est pas un choix.

La pauvreté, ce n’est pas parce qu’on ne la voit pas qu’elle n’existe pas.

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© Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) 2016. Tous droits réservés.

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